Sans savoir si le jour a été favorable aux retards de trains les 2 intercités de la soirée en ont été affublés (Voir image ci-dessus).
La Paris-Toulouse, lui, s’est arrêté en rase campagne peu avant Châteauroux, sans communication d’aucune information aux passagers.
Dès leur descente à Souillac (8 mn de retard) des passagers respiraient enfin sur le quai un peu d’air non malodorant, car, au moins dans la voiture n° 16, ça sentait le négligé, le rance, enfin le pas agréable du tout.
L’extérieur de cette voiture, lui-même n’était pas reluisant, la photo ci-dessous en témoigne.
Nombre de voitures de ce train avaient une apparence insolite.
La consultation des perturbations de ce jour sur le site SNCF prend beaucoup de temps. Des extraits en sont présentés.
La veille, les méridionaux et voyageurs en quête de sud-ouest ont été particulièrement maltraités au départ de la gare d’Austerlitz